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mareczek1234

April 8, 2021

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La terre où le français était le langue de la résistance

La langue de Molière est parmi les plus répandues au monde. Comme souvent, la perception dépend d'où on voit les choses : pour les gens soumis à la dominance française dans les colonies, n'importe où, dans l'Indochine ou l'Afrique, il était une langue de leurs oppresseurs, mise en force pour assurer sa soumission. D'autre côté, ça n'était pas toujours le cas : dans l'histoire de cette langue, il y avait une époque où il était vraiment un outil de résistance, une importante part de l'enjeu culturel et de l'identité des gens auxquels le français représentait une partie indispensable de leur existence.

Tel était le lot des françaises au Amerique de Nord après de la traite de Paris de 1763, qui a mis fin à l'existence de la Nouvelle-France, en cédant ses terres à la couronne britannique. Cependant, les français sont restés là - et leur langue ne plaisait pas à ses nouveaux suzerains. Le français était donc devenu un outil de résistance dans cette bataille culturelle qui les posait contre les anglaises. Les Acadiens, pour exemple, ont souffert des déportations de sa terre vers les bayous de la Louisiane; toutefois, les essais d'effacer leur langue n'ont pas disparu avec l'indépendance des États-Unis, et car le français était interdit dans les écoles pour un temps, il n'y a pas beaucoup des Cajun qui conservent sa langue et leur propre identité.

Par contre, dans le grand nord bland, les Québécois restent fiers de leur héritage et il y a de monde de gens qui parlent français quotidiennement. Ils ont réussi à garder leur propre identité face à quelque tentative de les assimiler. Il faut les saluer pour ça, car il n'est pas n'importe quoi de rester debout et fier de sa propre culture face à l'ennemi plus puissant que nous.

Corrections

La terre où le français était lea langue de la résistance

La langue de Molière est parmi les plus répandues au monde.

Comme souvent, la perception dépend d'e là où on voit les choses : pour les gens soumis à la dominancetion française dans les colonies, n'importe où, dans l'en Indochine ou l'en Afrique, il c'était unela langue de leurs oppresseurs, mise en forcimposée pour assurer saleur soumission.

Variante: «pour les gens soumis au joug français»
3ème personne du pluriel (plusieurs personnes qui possèdent plusieurs choses) => leurs

D'autre côtéCependant, ça n'étaita pas toujours été le cas : dans l'histoire de cette langue, il y avait eu une époque où ilelle était vraiment un outil de résistance, une importante part de l' enjeu culturel et de l'identitéaire des gens auxpour lesquels le français représentait une partie indispensable de leur 'existence.

«d'un autre côté» s'utilise quand on examine les arguments et contre-arguments d'une même problématique; bien que cela n'aurait pas été totalement faux ici, un «cependant» me semble mieux

Tel était le lot des fFrançaises au en Ameérique de Nord après de lae traiteé de Paris de 1763, qui a mis fin à l'existence de la Nouvelle-France, en cédant ses terres à la couronne britannique.

Les continents et pays féminins nécessitent toujours la préposition «en»: EN Indochine, EN Afrique, EN Amérique...
Les adjectifs de nationalités prennent une majuscule

Cependant, les fFrançais sont restés là - et leur langue ne plaisait pas à seleurs nouveaux suzerains.

Le français était donc devenu un outil de résistance dans cette bataille culturelle qui les opposait contre les aaux Anglaises.

Les Acadiens, pouar exemple, ont souffert des déportations de sa terre vers les bayous de la Louisiane; toutefois, les essaitentatives d'effacer leur langue n'ont pas disparucessé avec l'indépendance des États-Unis, et car le français a étaité interdit dans les écoles pour un temps, il n'y a pas beaucoup des Cajuns qui ont conservent sa langue et leur propreé leurs propres langue et identité.

«qui conservent» aurait été juste; «ont conservé» met l'accent sur le résultat (le processus historique) mais l'action se déroule toujours au présent, c'est vrai

Par contre, dans le gGrand nNord blandc, les Québécois restent fiers de leur héritage et il y a de mondebeaucoup de gens qui parlent français quotidiennement.

Les noms de points cardinaux prennent une majuscule lorsqu'ils ont une connotation culturelle, sociale ou économique, ex typique: «l'Europe de l'Est»

Ils ont réussi à garder leur propre identité face à quelquetoutes les tentatives de les assimiler.

«quelque tentative» aurait été quelque peu vieilli, et aurait signifié: «face à une tentative quelconque de les assimiler»

Il faut les saluer pour ça, car ilce n'est pas n'importe quoi de rester debout erien de tenir bon en restant fier de sa propre culture face à l'un ennemi plus puissant que noussoi.

La terre où le français était le langue de la résistance

La terre où le français était lea langue de la résistance

La langue de Molière est parmi les plus répandues au monde.

Comme souvent, la perception dépend d'où on voit les choses : pour les gens soumis à la dominance française dans les colonies, n'importe où, dans l'Indochine ou l'Afrique, il était une langue de leurs oppresseurs, mise en force pour assurer sa soumission.

Comme souvent, la perception dépend d'e là où on voit les choses : pour les gens soumis à la dominancetion française dans les colonies, n'importe où, dans l'en Indochine ou l'en Afrique, il c'était unela langue de leurs oppresseurs, mise en forcimposée pour assurer saleur soumission.

D'autre côté, ça n'était pas toujours le cas : dans l'histoire de cette langue, il y avait une époque où il était vraiment un outil de résistance, une importante part de l'enjeu culturel et de l'identité des gens auxquels le français représentait une partie indispensable de leur existence.

D'autre côtéCependant, ça n'étaita pas toujours été le cas : dans l'histoire de cette langue, il y avait eu une époque où ilelle était vraiment un outil de résistance, une importante part de l' enjeu culturel et de l'identitéaire des gens auxpour lesquels le français représentait une partie indispensable de leur 'existence.

Tel était le lot des françaises au Amerique de Nord après de la traite de Paris de 1763, qui a mis fin à l'existence de la Nouvelle-France, en cédant ses terres à la couronne britannique.

Tel était le lot des fFrançaises au en Ameérique de Nord après de lae traiteé de Paris de 1763, qui a mis fin à l'existence de la Nouvelle-France, en cédant ses terres à la couronne britannique.

Cependant, les français sont restés là - et leur langue ne plaisait pas à ses nouveaux suzerains.

Cependant, les fFrançais sont restés là - et leur langue ne plaisait pas à seleurs nouveaux suzerains.

Le français était donc devenu un outil de résistance dans cette bataille culturelle qui les posait contre les anglaises.

Le français était donc devenu un outil de résistance dans cette bataille culturelle qui les opposait contre les aaux Anglaises.

Les Acadiens, pour exemple, ont souffert des déportations de sa terre vers les bayous de la Louisiane; toutefois, les essais d'effacer leur langue n'ont pas disparu avec l'indépendance des États-Unis, et car le français était interdit dans les écoles pour un temps, il n'y a pas beaucoup des Cajun qui conservent sa langue et leur propre identité.

Les Acadiens, pouar exemple, ont souffert des déportations de sa terre vers les bayous de la Louisiane; toutefois, les essaitentatives d'effacer leur langue n'ont pas disparucessé avec l'indépendance des États-Unis, et car le français a étaité interdit dans les écoles pour un temps, il n'y a pas beaucoup des Cajuns qui ont conservent sa langue et leur propreé leurs propres langue et identité.

Par contre, dans le grand nord bland, les Québécois restent fiers de leur héritage et il y a de monde de gens qui parlent français quotidiennement.

Par contre, dans le gGrand nNord blandc, les Québécois restent fiers de leur héritage et il y a de mondebeaucoup de gens qui parlent français quotidiennement.

Ils ont réussi à garder leur propre identité face à quelque tentative de les assimiler.

Ils ont réussi à garder leur propre identité face à quelquetoutes les tentatives de les assimiler.

Il faut les saluer pour ça, car il n'est pas n'importe quoi de rester debout et fier de sa propre culture face à l'ennemi plus puissant que nous.

Il faut les saluer pour ça, car ilce n'est pas n'importe quoi de rester debout erien de tenir bon en restant fier de sa propre culture face à l'un ennemi plus puissant que noussoi.

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