Sept. 22, 2021
Aujourd'hui j'ai terminé ma lecture d'un livre sur les syndicats. Au Japon, nous souffrons en ce moment une stagnation de salaire, et l'auteur dit que ce phenomène s'explique par le manque des vrais syndicats au Japon.
En Europe, chaque ouvrier appartient à un syndicat industriel, alors qu'au Japon, la plupart des sociétés ont leurs propres syndicats, c'est-à-dire que les employés n'ont pas vraiment le pouvoir de négocier. Ce système a bien marché au cours de la périod de la grande croissance économique du Japon, qui a brusquement terminé lors de « la rupture de la bulle » qui s'est produit au début des années 90. Aujourd'hui, sans l'espoire qu'on avait auparavant, on a les mêmes conditions en matière de syndicats, qui n'aide pas du tout à abattre cette situation.
En plus, aux alentours de 2000, une loi sur les employés intérimaire a été promulgée, ce qui a crée la concurrence dans le marché des actifs, entraînant la baisse de salaire pour beaucoup de personnes. Aujourd'hui, 40 % des Japonais environs sont des employés intérimaires, et la différence entre les riches et les pauvres se creuse de plus en plus chaque jour.
L'histoire des syndicats
Aujourd'hui j'ai terminé ma lectude lire d'un livre sur les syndicats.
Au Japon, nous souffrons en ce moment d'une stagnation des salaires, et l'auteur dit que ce pheénomène s'explique par le manque des vrais syndicats au Japon.
En Europe, chaque ouvrier appartient à un syndicat industrielépendant, alors qu'au Japon, la plupart des sociétés ont leurs propres syndicats, c'est-à-dire que les employés n'ont pas vraiment le pouvoir de négocier.
Les syndicats ne sont pas forcément industriels (en revanche, ils n'appartiennent pas à des entreprises, donc « indépendants » irait bien dans ce contexte)
Ce système a bien marché au cours de la période de (la) grande croissance économique du Japon, qui as'est brusquement terminée lors de « la rupture de la bulle » qui s'est produitspéculative » au début des années 90.
Quand « se terminer » est pronominal (action effectuée sur soi-même) on utilise l'auxiliaire « être », comme pour tous les verbes pronominaux
J'ai supprimé « qui s'était produite » (c'est possible de le faire et ça allège la phrase en évitant d'avoir deux relatives)
Aujourd'hui, sans l'espoire qu'on avait auparavant, on a les mêmes conditions en matière de syndicats, qui n'aident pas du tout à abattrerésoudre/régler cette situation.
En plus, aux alentours de 2000, une loi sur les employés intérimaires a été promulguée, ce qui a crée de la concurrence danssur le marché des actifs l'emploi, entraînant la baisse de salaire pourde beaucoup de personnes.
soit « une baisse de salaire pour beaucoup de personnes » soit « la baisse de salaire de beaucoup de personnes »
Aujourd'hui, environ 40 % des Japonais environs sont des employés intérimaires, et la différence entre (les) riches et (les) pauvres se creuse de plus en plus chaque jour.
Vous pouvez également dire tout simplement « des intérimaires »
Feedback
Des syndicats indépendants amélioreraient peut-être la situation, mais ce ne serait pas suffisant, à mon avis. La France et l'Allemagne ont une longue tradition de droits sociaux, pourtant aujourd'hui il existe énormément d'astuces pour les contourner, et la précarisation ainsi que les abus du droit du travail se multiplient.
Je vais vous en donner juste un exemple: en France, les fonctionnaires (公務員) ont un emploi garanti à vie. Cela signifie qu'on ne peut théoriquement pas les virer. Cependant, l'Éducation Nationale fait de plus en plus appel à des « contractuels » — en fait des intérimaires, qui sont moins payés et font moins d'heures. Plus grave, certains n'ont pas les compétences pour être profs, et apprennent des choses fausses aux élèves. Et bien sûr, comme ils ne sont pas fonctionnaires, ils sont sur un siège éjectable...
本文が優れたでした!"de/des"の違とそんな文法のポイントがむずかしいです (フランス語話者の目にもむずかしいです!)、でも勿論、質問があれば、私に尋ねてください!
L'histoire des syndicats |
Aujourd'hui j'ai terminé ma lecture d'un livre sur l'union. |
Au Japon, nous souffrons en ce moment une stagnation de salaire, et l'auteur dit que ce phenomène s'explique par le manque des vrais syndicats au Japon. Au Japon, nous souffrons en ce moment d'une stagnation des salaires, et l'auteur dit que ce ph |
En Europe, chaque ouvrier appartient à un syndicat industriel, alors qu'au Japon, la plupart des sociétés ont leurs propres syndicat, c'est-à-dire que les employés n'ont pas le pouvoir de negotier. |
Ce système a bien marché au cours de la périod de la grande croissance économique du Japon, qui a brusquement terminé lors de « la rupture de la bulle » qui s'est produit au début des années 90. Ce système a bien marché au cours de la période de (la) grande croissance économique du Japon, qui Quand « se terminer » est pronominal (action effectuée sur soi-même) on utilise l'auxiliaire « être », comme pour tous les verbes pronominaux
J'ai supprimé « qui s'était produite » (c'est possible de le faire et ça allège la phrase en évitant d'avoir deux relatives) |
Aujourd'hui, sans l'espoire qu'on avait auparavant, on a les mêmes conditions en matière de syndicats, qui n'aide pas du tout à abattre cette situation. Aujourd'hui, sans l'espoir |
En plus, aux alentours de 2000, une loi sur les employés intérimaire a été promulgée, ce qui a crée la concurrence dans le marché des actifs, entraînant la baisse de salaire pour beaucoup de personnes. En plus, aux alentours de 2000, une loi sur les employés intérimaires a été promulguée, ce qui a crée de la concurrence soit « une baisse de salaire pour beaucoup de personnes » soit « la baisse de salaire de beaucoup de personnes »
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Aujourd'hui, 40 % des Japonais envrons sont des employés intérimaires, et la différence entre les riches et les pauvres s'eloigne chaque jour. |
Aujourd'hui j'ai terminé ma lecture d'un livre sur les syndicats. Aujourd'hui j'ai terminé |
En Europe, chaque ouvrier appartient à un syndicat industriel, alors qu'au Japon, la plupart des sociétés ont leurs propres syndicats, c'est-à-dire que les employés n'ont pas vraiment le pouvoir de négocier. En Europe, chaque ouvrier appartient à un syndicat ind Les syndicats ne sont pas forcément industriels (en revanche, ils n'appartiennent pas à des entreprises, donc « indépendants » irait bien dans ce contexte)
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Aujourd'hui, 40 % des Japonais environs sont des employés intérimaires, et la différence entre les riches et les pauvres s'eloigne chaque jour. |
Aujourd'hui, 40 % des Japonais environs sont des employés intérimaires, et la différence entre les riches et les pauvres se creuse de plus en plus chaque jour. Aujourd'hui, environ 40 % des Japonais Vous pouvez également dire tout simplement « des intérimaires »
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